• Chapitre 3 : Latharil, la demi-origine

     

       Elle marchait depuis longtemps, depuis trop longtemps pour savoir quelle heure il était. L'adolecente était fatiguée. Elle decida de se mettre parterre et de dormire.

     

       -Qui étez-vous ? demanda une voix d'homme qui la tira de son someil.

    -De quoi ?

    -Qui étez-vous ?

    -Je m'appelle Lore. Et vous ?

    -Drumain, garde de la cité de Latharil

    -Une cité ? Dans cette foret ?

    -Oui la cité des elfe de lune ou argenté. C'est comme tu veux. Suit moi, je vais te montrer et tu en profiteras pour mettre des vetements plus convenable.

    Il lui montra le chemin et elle lui raconta sa journée d'hier et comment  elle s'était retrouvée dans cette foret.

     

       -Nous y voilà ! déclara Drumin.

    La jeune fille fut émerveillée devant la magnifique cité.

    Il était midi lorsqu'ils entrairent dans un grand batiment, le plus beau de la ville. Drumin lui expliqua que ce batiment était le demeur royale. Il la guida jusqu'a la chambre d'une jeune fille de treize ans. Une fois devant la porte, il frappa et une voix lui dit d'entrer.

    -Mademoiselle, il y a une jeune fille avec moi et il faut que je retourne a mon poste.

    -J'ai compri, je m'occupe d'elle !

    -Bien. Au revoir, Mademoiselle.

    -Assiai-toi, j'arrive dans une minute.

    Lore s'assit et attendit

     

       La pièce était grande, un grand lit en bois de chene, l'arbre le plus present dans la foret, des fauteils magnifiques, des tables superbes. Toute la pièce créait une ambiance d'apesement. Ce fut à ce momment que la jeune fille entra, les cheveux argenté légerement bleuté vétue d'une robe longue orangé, les oreilles pointue, et se presenta à elle.

     -Bonjour ! dit Lore en se levant, je m'appelle Lore.

    -Bonjour, moi c'est Sylnodel ou Luna, mais je prefere Luna. Elle se mit a rire

    -Quoi ? Pourquoi tu ris ?

    -Tu es en pyjama ! declara-t-elle, toujours en riant. Je vais te preter une robe.

     

       Lore avait le choix, il y en avait de toute les couleurs. Après un quart d'heure à regarder les robes qu'elle preferait, elle obta pour une robe violette pastelle avec de broderies en or. Luna lui fit visiter le chateau, lui presenta sa famille : Helridur, Sorkor, Darkhan, Halfar. Halfar, la peau noir, les cheveux ébene, son regard croisa le sien. Ils s'arreterent tout les deux et seregarderent un long momment.

    -Ouhouh ! intrevient la voix de Luna. Tu vien que je te presente ma mere.

     

       Elle arrivairent dans un grand sallon dont les meubles étaient en bois et tout les textilles, bordeaux.

    -Maman, je te presente Lore.

    -Lore, tu dis ?

    -Oui, Lore, c'est ça.

    Ambrethil se tourna. Elle avait un visage interogateur, mais lorsqu'elle vit les meches argentés de la jeune fille, elle pronosa, étonnée, <<Sylnadel>>.

    -Sylnadel ? repeta Lore.

    -C'est le prenom que ton pere t'as donné.

    -Vous connaisez mon pere !

     

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    Voilà aussi une partie de l'origine du prenom de ma pullip !!!!

    (pour devenir FAN taper FAN en commentaire !!)


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  • Hello !! Voici donc la suite (tant attendue ?) de l'histoire plutôt étrange de Léna ;)

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    CHAPITRE 4 - Quand l'envie de savoir prends le dessus...

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    Le cours m’avait paru extrêmement long et monotone, ce qui est rare, parce que d’habitude, j’aime bien les études de texte. Je souris lorsque la sonnerie retentit. Rentrer avec Baptiste ne me faisait plus peur, mais ce qui allait suivre un peu plus. Je me précipitais alors à sa table pour lui demander s’il ne pouvait pas attendre pour son bracelet, mais il me répondit que non. Je n’aurais jamais dû blesser Nina. Il fallait que je m’excuse, ce que je me promis de faire intérieurement, après que Baptiste soit rentré chez lui. Nous nous mîmes en route en discutant, comme d’habitude, il était parfaitement normal, souriant, blagueur, et joyeux. Arrivée devant chez moi je lui demandai d’attendre devant, mais je vis dans son regard qu’il avait envie de rentrer à l’intérieur. Peut-être pour voir comment est l’intérieur d’un château ? J’essayais de me rassurer. Nina m’attendait à l’intérieur, elle ne semblait plus fâchée, mais me demanda de lui décrire Baptiste. J’ignorais totalement pourquoi, mais elle m’ordonna de ne pas poser de questions. C’était urgent pour elle. Je le fis, physiquement comme moralement. Je sortai ensuite dehors, il m’attendait, au même endroit que tout à l’heure, il avait son mp3 sur les oreilles. Je lui donnais son bracelet, et me remercia. Il regarda derrière moi, juste à l’endroit où Nina se tenait, ce qui le troubla. Cela m’étonnai, mais je fis comme si je n’avais rien trouvé d’anormal. Je pris mon goûter, puis allai faire mes devoirs. Soudain, pendant que je faisais la rédaction demandée en français, un détail attira mon attention. Une voix, plus précisément. Une voix que je n’avais jamais entendue auparavant. Puis je reconnu la voix de Nina. Mon esprit de curieuse et mon envie de savoir qui c’était m’ont fait interrompre mes devoirs, pour aller voir ce qui se passait derrière mon dos. Ils étaient dans le petit salon, dont la porte étaient légerement entrouverte. Je ne voulais pas les déranger, alors je me mis sur le côté, l’oreille proche de l’ouverture de la porte pour entendre leur conversation. J’espère que Nina ne sentait pas ma présence…

    • Elle m’a dit qu’il était souvent blagueur, entendis-je Nina dire à cet homme que je ne connaissais pas. Elle parlait de Baptiste !
    • Interressant… Nous avons affaire a quelqu’un de plutôt complexe, il va être difficile pour moi de le manipuler…
    • Je ne pense pas que simuler une troisième vision rendra Léna plus sensible à la situation, elle l’est déjà beaucoup…
    • Il faudra quand même faire en sorte que tu parvienne à contrôler encore un peu les pensées de Léna. Il faut que j’arrive à voir Baptiste à travers ses yeux, enfin, les tiens, pendant que ta pensée devient celle de Léna.
    • Je vais essayer, maître. Au revoir.

     

     J’étais sidérée. Nina m’avait trahie. Elle me contrôlait, mes sentiments, mes réactions. Pourquoi faisait-elle ça ? Nina avait l’air si amie avec moi ! Il fallaut que je fasse comme si je n’avais rien entendu, et que je parvienne à empêcher Nina de me suivre sans arrêt. Parce que Baptiste ne me veut rien, mais le maître de Nina se sert d’elle, c’est plutôt lui qui veut quelque chose…

    La situation commençait à devenir vraiment compliquée…

     

     Je rentrais alors dans ma chambre et me remit à ma rédaction, en m’efforçant de faire comme si je réfléchissais, et en situation de stress, j’arrivais facilement à faire ce genre de choses, bizarrement. Nina rentrait dans la chambre, elle avait l’air contente, mais maintenant que je connaissais son secret, je devinais qu’elle était angoissée. J’avais envie de lui dire que je l’avais entendue, mais cela ne ferait qu’aggraver la situation. Je me demandais si elle pouvait lire dans mes pensées, en ce moment. Soudain, ma mère arriva dans la pièce, le téléphone à la main et m’annonça avec joie que Baptiste voulait m’inviter chez lui. Sauf que j’étais face à un dilemme, de taille. Si le maître de Nina arrive à contrôler ce que je vois, elle verra ce que je pense et dit, et il pourrait être en danger… et je n’en avais pas envie ! Mais j’acceptais, faisant comme si j’étais encore contre les visions de Nina, et cela m’étonnai de ma part. Soudain, je regardais Nina en face, elle osait me demander pourquoi j’avais accepté, alors que je devinais que c’était elle qui m’avait contrôlée. Je fus soudain prise de rage contre elle, et j’en avais toutes mes raisons. Nina me trouvait bizarre, mais moi, je ne la comprenais pas.

    Je ne voulais plus la voir, j’étais trop en colère. Elle n’aimerait pas qu’on lise dans ses pensées ni qu’on la contrôle !

    Parfois, je n’avais plus envie d’avoir mon don.

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    Alors, vous en pensez quoi ^^ ? La suite %D ? *sors*


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  • Encore une longue partiiiiiie!! xD désolée, j'aime faire long.. voici enfin le moment tant attendu de Ness et Nix!!

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    Plus tard, mon père vint me chercher et me ramena à la maison en me sermonnant sur la vie, l’Académie et d’autres choses quelconques que je n’écoutais pas. « L’Académie… Cela doit faire tout drôle de passer tout le temps là-bas… J’espère que je serais avec des gens sympa. » L’arrêt de la voiture me tira de mes pensées.

    -J’espère que tu te rends compte de la chance que tu as. Soigner par magie est difficile, même pour quelqu’un d’une haute importance.

    « Par... magie ? » Ma guérison accélérée me revint en mémoire.

    -Mais qui m’a soignée ?

    Mon père me regarda comme si j’étais folle :

    -Le représentant de l’Académie te soigne et toi tu oublie ? Ben voyons !

    « Le représentant de l’Académie ?! » De l’Académie….. De l’Académie ! Je me demande pourquoi un représentant de l’Académie à pris la peine de se déplacer pour moi…

    -Allez, dodo ! Demain, tu devras te lever tôt.

    Je m’aperçus alors que la nuit était tombée et que l’horloge indiquait 23 heures.

    ***

    Bip-bip-bip-bip-bip-bip-bip-COUIC.  J’écrasais  une main sur le réveil qui poussa un couinement sonore, achevant de me réveiller. 7h30. « Qu’est-ce-que je fiche à mettre mon réveil à 7h30 un samedi matin moi ?me demandais-je. Mince l’Académie ! » J’arrachais la couette de mon lit et sautais dans la salle de bain.

    Après une douche express et pas de petit déjeuner, je laissais un message à papa et partais en courant. « Heureusement que je connais le chemin. » Ah, ça oui, je le connais ce chemin ! J’étais passée devant des centaines, des milliers de fois en rêvant du jour où j’y entrerais à mon tour. Et évidement, ce jour là, je suis en retard.

    Essoufflée et échevelée, j’arrivais devant l’Académie où une foule de personnes attendait.  Mais quand je dis une foule, ce n’est pas une petite, c’est une ENORME. Et avec des majuscules. Des dragons par centaines voletaient où restaient sagement avec leurs moitié, qui parlait dans un raffut pas possible. La place Académie était noire de monde. « Où est-ce-que je vais pouvoir trouver Flo et Skeba ? »

    -Hé Ness !

    J’eu un coup au cœur

    -Flo ! Ne fais plus jamais ça ! J’ai failli avoir une crise cardiaque !

    Elle partit d’un rire clair comme un ruisseau qui finit par me contaminer, même si le « T’es en retard. » que lâcha Yuritō plomba légèrement l’ambiance.

    Quelques minutes plus tard, Skeba apparut, accompagné d’un Wirit plus grincheux que jamais. Et dans un souci d’impartialité, Yuritō lui sorti le même « T’es aussi en retard » auquel Wirit répondit d’un irrité « On aurait été à l’heure si vous aviez eu la gentillesse de ne pas vous terrez dans le coin le plus sombre de la place. »

    La grille s’ouvrit, accompagnée d’un profond grincement. Puis, emportée par la nuée d’élèves et de dragons, je me dirigeais moi aussi vers l’entrée, le cœur battant.

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    Zoilàà!! Un avis? Cette partie était difficle à écrire, mais le principal c'est qu'elle soit là... Non? Vu que je publie plus vite que j'écris l'écart se creuse.. faudrait que je me bouge plutôt que de ragarder Fairy Tail >_<  

    HS du jour: bon anniv Wanou-chan!! Cado par ><


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  • Voilà le 3e chapitre sur 13 qui arriiiiive ^^'' !!!!

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    CHAPITRE 3 - La colère l'emporte sur les doutes

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    Arrivée en cours de musique, je ne cessai de me poser des questions. Comment cela peut-il être possible ? Et si à force d’éviter les visions de Nina, elles continueront à me suivre jusqu’à temps qu’elles se réalisent ? Baptiste était assis à côté de moi, mais je ne remarquai même pas qu’il essayait de me parler : 

     

    • Léna ? Tu m’entends ?
    • Oh, pardon, je réfléchissais, excuse moi. Tu voulais me demander quelque chose non ?
    • Arrête moi si je me trompe, mais j’ai comme l’impression que tu te méfies de moi en ce moment… Ce matin tu étais bizarre.
    • Oh mais non, non, je suis juste préoccupée, c’est rien.
    • Tu sais, tu peux me parler hein ? Tu peux me faire confiance, quand même, on se connait depuis la maternelle !

     

     Je ne savais plus quoi penser. Baptiste ne pouvait pas me mentir comme ça, ou alors, il jouait vraiment un drôle de jeu. Juste au moment ou une surveillante entra dans la salle, je vis Nina apparaître juste derrière elle, ce qui me fit réprimer un sourire. Elle arriva derrière moi, plongeant sa main dans mon sac le plus discrètement possible pour ne pas que Baptiste croie que j’ai un sac qui bouge tout seul… Personne ne sentais sa présence derrière moi. Je la sentais perturbée par la simple présence de Baptiste dans la salle. Elle failli même se mettre en colère quand il me glissa une blague à l’oreille. Je crois qu’elle ne voulait pas que je le fréquente.

     

     Pour la première fois, j’avais envie de dire à Nina d’arrêter de me conseiller tout et n’importe quoi. Pour la première fois j’éprouvais de la colère envers elle. Je n’avais pas envie de donner ce bracelet à Baptiste, j’avais envie de lui donner en arrivant chez moi. Nina allait me faire la tête, sûrement, mais c’est vraiment ce que j’allais faire.

     

     La sonnerie de la fin du cours retentit, et je me dirigeais vers la porte de sortie, pour aller parler avec Nina dans un endroit où il n’y aurait personne. Je ne voulais plus rien soupçonner de Baptiste tant que Nina ne me donnait pas plus d’informations, ou une preuve.

    • Nina, il faut que tu m’en dises plus à propos de Baptiste, je n’arrive pas à croire qu’il me veuille du mal !
    • Tu ne vas pas lui donner ce bracelet hein ? Tu ne me crois pas ? Tu me penses… jalouse ?

     

    J’avais l’impression qu’elle lisait dans mes pensées, c’était assez troublant !

     

    • C’est vrai que je n’ai pas envie de lui donner ce bracelent, Nina. Il n’a pas l’air de me vouloir quoi que ce soit !
    • Léna, je vais être franche. Tant que tu ne me croiras pas, mes visions seront de plus en plus fréquentes, jusqu’à ce qu’on ne puisse plus rien faire pour les empêcher. Je suis là pour te protéger, c’est mon rôle. Sinon, je serais allée ailleurs, comme tous ceux qui acceptent leur mort. Mais mes visions m’épuisent, et j’ai peur d’être trop fatiguée pour continuer à t’aider. Pourtant, je veux continuer ! Plus j’aurais de visions, plus j’en saurais et moins les chances d’y échapper seront grandes. J’ai déjà eu deux visions en moins de trois jours. C’est beaucoup trop ! Je dis juste ça pour toi Léna !
    • Mais Nina… Je trouve que tu en fais un peu trop. De là à m’interdire de parler, même d’approcher mon ami d’enfance, c’est plus que protéger là !

     

     Ce que je voulais dire était enfin sorti. Et ce que je ne voulais pas faire est arrivé aussi. Nina était blessée par ce que je lui avait dit. Elle était partie sans même se retourner, et moi j’allais arriver en retard en français. Je n’avais pas pu donner le bracelet à Baptiste. La vision de Nina allait se réaliser. Tout ce passait comme prévu, et elle avait raison, mes chances étaient entrain de se réduire. Il fallait que je me rende à l’évidence, Baptiste me veut quelque chose.

     

    Quelque chose dont j’ignore totalement l’ampleur et les conséquences...

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    Vous en pensez quoi ? J'ai le 4e chapitre qui est déjà tapé, si quelqu'un le veut... xD


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  • Chapitre 2 : Attaque

     

        Le vent soufflait dans les feuilles des arbres. Lore avait froid, se qui la reveilla. Au lieu d'être dans sa chambre, comme la veille, elle se trouver dans une foret.

    <<C'est quoi se bazarre, pensa-t-elle, qu'es-ce que je fiche dans une foret>>. Personnellement, je connais personne qui s'endore chez soit et qui se reveille dans une foret.

     

       Elle marcha longtemps, sans croiser âme qui vive. Après une heure de marche, elle s'arreta près d'un court d'eau. Elle profita de l'occasion pour se rafraichir et se reposer. Quand soudain, elle entendit un bruit de pas. Elle grinpa a toute vitesse dans l'arbre le plus proche et regarda attentivement. Des femmes arrivaient, des femmes à la peau noir, rien d'étonnent, à part que leur oreille étaient pointues. Elles étaient vetue d'une armure et d'un casque. Elles étaient armées, aussi, d'un épée courbée, un cimetré.

    -Trouvez la ! dit l'une d'entre elles. Loth la veut vivante. Elle sera une pretresse inetimable !

    -Je la sens, dit une deuxieme en s'approchant de l'arbre où se cachait Lore. Elle est là, tout près.

    Une troisieme tua un animal sauvage qui se jettait sur celle-ci, ce qui fit crier Lore. Elle descendit de l'arbre plus vite que la musique et se mit a courrir. Les femmes noires la suivirent, tranchant tout sur leur passage. La jeune fille trouva un creu suffisament grand pour qu'elle si glise. Les femmes noires continuerent a courrir. Lore attendit un long momment avant de sortir de sa cachette. Elle se leva , frotta sont pyjama.

    -Alors, derière moi, à eviter, devant, n'en parlons pas, à gauche, y a pas de sentier. Il reste plus que la droite, dit-elle.

    Elle repartit


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