Oh la la... j'ai peur de perdre des lecteurs en vous imposant une partie aussi longue... elle fait 5 pages recto, mais de pages tapés sur Pages... (ou Word, comme vous voulez).
Donc je vous souhaite bonne chance pour tout lire lecture %D
Mais elle est longue car elle regroupe toutes les épreuves que passe Luella, donc c'est normal. Donnez moi votre avis en com'zz ^^'' 

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Quatrième partie -  Epreuves

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Lola m’accompagna et me vis passer au travers du mur. J’appréhendais beaucoup la réaction du maître, sachant que cela fait seulement deux semaines et non pas un an que je suis là. Je vis le maître sur son trône, stupéfait. Il me donna un tas de feuille de papier avec des formules à remplir, des textes de livres… Je compris alors que la première épreuve était mentale, de réflexion.

 

 — Tu as 3 jours pour me remplir ces 500 feuilles. Si tu échoues et que tu as fait  plus de 20 fautes, tu attendras 2 ans avant de revenir. Tu peux demander ton arrêt  avant 24 heures. Je lance le sablier à ta demande.

 — Lancer le sablier, maître je relève l’épreuve.

 

 Me voilà lancée. Les premières formules et textes sont simples. Je me souviens du conseil de Lola, ma seule amie dans ce monde étrange : “ Si elle est mentale, refléchis bien et remémore toi tout ce que tu connais”. Lola avait bien raison, et jusque là, tout ce passait bien. Elle m’a demandé de revenir après 1 ou 2 épreuves, mais je n’avais aucune idée si on devrait les repasser après…

 

 —Maître, si je demande mon arrêt, je reviens au monde, mais dois-je repasser les  épreuves déjà acquises ?

 — Non, mais tu n’auras aucun souvenir d’elles. Tu peux demander ton arrêt après  chaque épreuve pour souffler, mais ton arrêt ne dépassera pas 12 heures, ou une  nuit.

 

 Deux jours plus tard, j’avais travaillé pendant 48 h d’affilée, avec seulement trois pauses, je donne mes feuilles et demande mon arrêt. Le maître accepta et m’autorisa la sortie, j’aurais accès à la deuxième épreuve au lendemain, après la nuit. Je revis Lola, elle me demanda comment, c’était : 

 

 — Alors, alors ? Comment c’était ? Y avait quoi dedant ?

 — Je ne me souviens de rien… Juste qu’il m’a donné un gros tas de feuille et que  j’ai mis deux jours à faire l’épreuve.

 — Comment ça tu te souviens de rien ? Tu m’as dis que… bon, c’est pas grave.  C’est pour quand ta prochaine épreuve ?

 — Ça, je m’en souviens, c’est dans 12 heures, soit demain à 9 h.

 

 Cette nuit, je me demandais si la prochaine épreuve allait être physique ou mentale, mais en réfléchissant bien, je me dis qu’elle ne pouvait être que physique. J’allais alors dans la salle des révisions pour revoir dans les manuels les informations qu’il me manquaient, par exemple, celles du second trimestre, je passa la nuit à m’entraîner et à imaginer l’épreuve. 

 Le lendemain matin, je pensais à l’épreuve. Il me restait 3 h. Je décida d’y aller à partir de la musique du lancement des cours. Je dis à Lola que j’allais passer l’épreuve maintenant. Le maître devrait m’attendre. J’entrais dans la fissure et j’arrivais devant mon activité préférée, l’accrobranche. Je réalisais alors que l’épreuve était physique. Je venais de me souvenir que j’avais cinq heures pour cette épreuve.

 

 — Bonjour maître. Je vois bien que l’épreuve est physique. Comment saviez-vous  que c’est mon activité préférée ?

 — Je fais les épreuves en fonction de la personnalité et des goûts de la personne  qui tente de sortir d’ici. Tu as 5 heures pour parcourir les 25 kilomètres de forêts qui  entoure le monde. Arme toi de patience et équipe toi. Sais-tu qu’il y a de grands  écarts de température dans la forêt ? Prends ce dont tu as besoin, mais tu n’as pas  le droit d’emporter de bouteilles d’eau. Le câble supporte tout juste 80 kilos. Ne  prends pas de matériel trop lourd. Bonne chance.

 

 Une fois l’épreuve lancée, je me rendis compte de la distances à parcourir. 25 kilomètres. Je me souviens, mais vaguement que Lola m’est parlé de cette forêt, un endroit ou le temps change, comme quand on change de chemise. Je pris le baudrier le plus résistant, la poulie pour la tyrolienne, les longes pour m’accrocher aux cordes, un K-way s’il pleut… J’avais encore du temps devant moi, mais je décidais de me mettre en route tout de suite. Arrivée au cinquième kilomètre, je voyais un bloc de glace sur ma droite. Je mis mon K-way pour ne pas avoir froid, mais quand la température descends très vite, on n’a pas le temps de s’y habituer. Les cordes étaient glissantes et je luttais sur les ponts de singes pour ne pas glisser et rester suspendue à une vingtaine de mètres du sol. Le temps me parraissait long, la température n’augmentait pas, j’avais soif. Soudain, je vois de la glace entrain de fondre, je me mis à boire. Le maître m’annonça que j’étais à mi-parcours et il me restais 2 h. Je venais de faire 12,5 kilomètres en 3 heures, mais la je devais faire 12,5 kilomètres en 2 heures ! J’avais une demi-heure de retard ! J’espérais juste qu’il y ait beaucoup de tyroliennes pour que j’aille plus vite. La glace m’avait ralentie. J’entrais dans la partie la plus humide, donc la plus chaude de la forêt.  Je vis des rondins de bois accroché de manière à ce qu’ils roulent, comme un collier de perles. J’employais la manière forte : je cours. J’étais saine et sauve, mais j’ai failli déraper et me retrouver dans le vide une nouvelle fois. Un pont de singe se dressa devant moi, mais en dessous, un précipice, apparament sans fond, puisqu’on ne le distinguait pas. Je fus soudain prise de vertige, j’avançais doucement, mais sûrement. Je regarde ma montre, une demi-heure pour 3 kilomètres. Je décida alors de mettre les bouchées doubles. Je finis le parcours par une tyrolienne immense, au moins 800 mètres. Le maître me reçut et me félicita, j’avais fait 25 kilomètres d’accrobranche en 4 h 45. Il me donna un grand verre d’eau et m’accompagna à la sortie en me disant “Ce n’est que le début.” 

 De retour de mon épreuve, Lola m’a apprit qu’elle avait trouvé un livre dans le bureau du maître, il s’était absenté pendant mon épreuve et le robot était parti. Lola a regardé dans ses tiroirs et a vu un dossier : “Epreuves Luella.” écrit en lettres rouges sur pochette blanche. On regarda les textes ensemble. J’aurais 4 épreuves physiques et 1 épreuve mentale, soit celle que j’ai passée au début.

 

 —Regarde, me demanda Lola, ta prochaine épreuve est pour demain, c’est une  épreuve physique et tu devras maintenir… un feu de camp en équilibre au-dessus  de l’eau pendant 5 heures ! Tu vas jamais pouvoir ! Tu n’as pas assez de force ! Je  vais te faire manger des vitamines et de la viande au menu de ce soir. Sinon tu ne  vas jamais tenir le coup. 

 — Ne t’inquiète pas, je veux bien des vitamines mais pour la viande, y en as au  menu de ce soir, donc je pense que ça ira. 

 — Pour la quatrième épreuve, physique, ce sera un labyrinthe géant dans le noir, tu  devras t’éclairer par toi-même. Je te souhaite bonne chance pour celle-là. La   cinquième…

 — Le maître revient, criais-je, vite, remet ça dans son bureau !

 

 Par chance, nous réussîmes à remettre le manuel. Le seul problème, c’est pour la cinquième épreuve, je ne sais pas ce que c’est… Pour demain, je sais comment maintenir un feu en l’air, mais le faire tenir longtemps… Je vais aller demander à ma professeure de me donner un conseil pour le faire tenir longtemps. J’espère qu’elle ne se doutera de rien… Je sortis du cours, je savais maintenant le faire tenir, mais au bout de 10 minutes, je fus épuisée. Je savais que demain ce serait cinq heures. Lola nous avait réservé une table. 

 

 — Tiens, des vitamines. Tu sais au moins comment on fait, pour demain ?

 — Pas si fort, on pourrait nous entendre… Oui, j’en sort tout juste. Je suis épuisée  et je l’ai fait tenir dix minutes. Demain je vais me lever à six heures pour réviser et à  6 h 30, je serai prête et j’irai à la fissure. 

 — Tu vas finir par sortir d’ici, non ? Si ton délai de pause est de 12 heures à chaque  fois, tu es obligée de réussir si tu ne veux pas rester deux ans ici. Comme tu es en  pension, il vaut mieux faire vite pour ne pas qu’ils s’inquiètent. J’espère qu’il te  laissera plus que cinq heures pour le labyrinthe… Je sais pas comment tu vas faire,  tu as un bon sens de l’orientation ? 

 — Oui, ça oui. Je mange vite et je vais me reposer pour demain. Tu peux pas  savoir comment j’ai peur de rater, si le feu tombe…

 — Mais non ! Tu vas réussir, je te connais.

 

 Il était 6 h. Je partis m’entraîner. Je regardais les manuels pour être sûre de moi. Après avoir bien fait ma manipulation, je retourne voir le maître. La salle est entièrement vide, sauf un grand bassin d’eau au milieu de la salle. 

 

 — Bonjour maître, que dois-je faire aujourd’hui ?

 — Tu vas devoir allumer un feu au-dessus de cette cuve et devoir le faire tenir  pendant 5 heures, sans qu’il tombe.

 — Pendant 5 heures ! Mais je vais être épuisée !

 — Il faut apprendre à se maîtriser, Luella. Tu vas y arriver, je pense. Tu connais la  sanction, si tu échoues... Tu lances le défi quand tu veux.

 — Je lance le défi, maître.

 

 Il a fait apparaître devant moi, cinq buches. Chacune devrait tenir une heure, selon moi. C’est ce que je vais essayer de faire. Je suspendis en équilibre dans le vide une première buche. Je me concentrais ensuite et une petite flamme apparut. La première heure fut très pénible. Je devais maintenant faire intégrer la deuxième buche dans le feu. Les heures suivantes se passèrent mieux, mais lors du début de la cinquième heure, je me sentit faiblir, comme si je m’endormais. Une petite migraine me révéilla et comme par magie, la cinquième heure se passa sans aucun problème. Le maître fut très étonné de ma concentration. Curieuse, je lui demandais quel sera la dernière épreuve.

 

 — La dernière épreuve sera physique, tu n’auras eu qu’une seule épreuve mentale  et tu n’en auras qu’une. Pour la dernière épreuve, elle sera contre moi, elle durera  12 heures au lieu de 5. Tu devras amasser 10 pierres sacrées, du haut du volcan.  Si l’épreuve durera 12 heures, c’est parce que le mont Volcanium et haut de 6 km,  et il faut les faire en escalade. Tu devras choisir de quel côté tu souhaites monter  pour trouver les pierres. Tu les amèneras en haut du volcan, tout comme  moi. Tu as  su ce que tu voulais savoir ?

 — Oui maître. A demain pour la prochaine épreuve.

 

 Le maître n’aurais pas dû me dire toutes ces présisions. Lola savais sûrement qu’il y avait des renseignements sur le volcan d’ici, à la salle de lecture. J’allais me renseigner sur sa surface, combien de pierres sacrées il y a dessus, s’il y a un côté plus facile que l’autre… Je sentais que Lola et moi avions du travail.

 

 Lola m’attendais, comme à la sortie de toutes mes épreuves, dans ma chambre. Quand je la vis, elle avait un paquet emballé dans les mains. Un cadeau.

 

 — C’est pour moi ? 

 — Je sais ce qu’il y a dans la dernière épreuve, j’ai tout ce qu’il te faut comme  renseignements dedans !

 — Waaah ! Merci Lola ! Moi aussi je sais ce qu’il y a dans la dernière, je lui ai  demandé. J’allais justement te voir pour te dire qu’on allais dans la salle de lecture,  mais je crois qu’il n’y a pas besoin !

 

 Nous nous mîmes à lire tous les renseignments, mais avant, je lui ai demandé de chercher combien de pierres sacrées il y avait dessus, de chercher aussi sa surface. Moi j’ai cherché quel côté était plus simple et combien de kilomètres d’altitude faisait-il. J’ai trouvé mieux encore : dans le livre, ils disaient que le côté Est du volcan était moins haut de 500 mètres ! Je savais aussi grâce à Lola que le côté Est contenait plus de pierre que le côté Ouest. Il est de surface très rocheuse. Je pris des forces pour l’épreuve du labyrinthe. Comme l’épreuve du feu m’avait un peu fatiguée, je pris un peu plus en quantité au repas du soir. Me voilà prête à surmonter le maître ! Lola était très contente pour moi, mais moi, je ne pouvais pas l’abandonner comme ça, elle m’a aidé durant tout mon parcours et c’est grâce à elle que j’ai réussi à entrer. 

 

 — Toi, Lola, tu vas devoir attendre un an avant de sortir ? 

 — Comme tout le monde qui arrive ici. Sauf toi, qui est un cas particulier. Ce qui  m’impressionne, c’est que le maître t’ai laissé faire le défi… Ne t’en fait pas pour  moi, on se reverra sur Terre, on se reverra comme on se reconnait après de  nombreuses  années.

 

 Quatrième épreuve : le labyrinthe. La grosse épreuve d’orientation. Le maître avait aussi deviné que j’adore ça. Mais grandeur nature, ce sera la première fois. J’avais vraiment hâte. Je repris le chemin, mais en entrant, je ne vis pas le maître. J’entendis simplement une voix qui me disait d’avancer dans le labyrinthe. Me voilà dans la quatrième épreuve. L’avant-dernière. Une torche sur ma gauche, je l’allumais avec mon pouvoir que je savais plutôt bien maîtriser. J’avançais, je tombais sur plusieurs impasses, qui m’obligeaient à retourner en arrière. Comme j’ai bonne mémoire et les labyrinthes complexes sur papier de la pension m’ont aidé à garder le chemin. Je marque des petites croix au sol à chaque fois que je suis déjà passée. Voilà déja 2 heures de passées, J’avais l’impression de tourner en rond. Je commençais à me demander si j’allais trouver la sortie, et comme par miracle, une grande flèche se traça au sol. Je la suivi, mais elle s’interrompit. Je cru que c’était l’arrivée, mais c’était juste une bourrasque de vent qui s’est levée. J’avais atteins l’arrivée par hasard, j’ai pris un chemin, tourné deux fois à droite et me voilà à l’arrivée. Le maître m’attendait, il se demandait vraiment comment je faisais pour accomplir toutes ces épreuves, sachant que je n’avais pas passer un an au monde. 

 Je savais comment passer la dernière épreuve. La “phase ultime” comme disait Lola. Je connaissais bien les parcours d’accrobranche les plus ardus et les plus difficiles. Je me sentit entièrement capable de le faire. J’étais comme poussée par une force intérieure qui me guidais dans chaque épreuve. J’allais rejoindre Lola, me voyant saine et sauve. Elle faisait des recherches sur Volcanium, le fameux volcan que je m’apprêtais à gravir le lendemain. J’étais vraiment stressée par cette épreuve. Lola avait une hypothèse concernant le maître : 

 

 — Tu sais, le maître a eu 100 ans il n’y a pas longtemps ? Il est un peu fatigué, lui  aussi, mais par l’âge. Il ne va pas gravir une montagne très vite comme un garçon  de 20 ans, mais comme un homme de 100 ans. Ça veut dire qu’il ira beaucoup  moins vite, non ?

 — Je n’en suis pas si sûre… Je ne sous-estime pas ses forces, puisqu’il est  immortel. Je pense qu’il garde des forces depuis tant d’années, qu’il n’a jamais pu  utiliser car personne ne connaissait le secret des épreuves. Donc je suis d’accord  avec ton hypothèse, mais elle est douteuse, tu vois ?

 — Oui, je vois. Je pense, et je suis quasiment sûre, qu’il va organiser une fête pour  ton départ, comme tu es la première qui aura su l’affronter. Tu pourras en être fière,  non ? 

 

 Je savais que je n’allais plus pouvoir revoir Lola après la fin des épreuves, car j’étais quasiment sûre de réussir à passer le volcan, comme d’autres ont réalisé l’exploit de gravir le mont Blanc, en France, sur Terre. J’avais peur de ne pas réussir, mais toutes les chances sont de mon côté. Lola compte sur moi pour réussir. Je ne veux pas la décevoir. 

 La cinquième épreuve se déroulais au pied du Volcanium. Le maître m’a demandé de venir au pied du mont, accompagnée. Il ne m’a pas expliqué pourquoi, même si j’avais beau lui demander. J’étais accompagnée de Lola, aussi excitée que moi. Le maître nous reçut :

 

 — Vous voilà toutes les deux au pied du Volcanium. Si je t’ai demandé de venir  accompagnée, c’est parce que tu auras besoin de ta camarade pour gravir le mont.  Elle t’assurera et prendra les pierres dans son sac. Je suppose que tu lui as déja  expliqué tout ce que tu allais faire ici, non ?

 — Oui, elle me suit depuis le début des épreuves. Elle est la seule à qui j’en ai  parlé. 

 — Bien, jeune fille, tu vas aller avec mon assistant qui va t’expliquer comment  assurer en ascension. De quel côté partirez-vous ?

 — Le côté Est, répondit Lola me coupant dans mon élan.

 

 Le maître parrassait embarrassé de notre choix, sachant qu’il était moins haut. Peut-être avait-il compris pourquoi avions-nous pris ce côté, comportant également plus de pierres. Lola revint et nous nous mîmes chacun de notre côté. Nous avions 12 heures pour monter. Lola et moi, nous étions comme deux sœurs jumelles, deux complices. Elle reprérait les pierres tandis que moi je repérais les prises et les trous pour les longes. Nous décidions de faire une pause au milieu. Nous avions grimper 3,5 kilomètres et il nous restait 5 heures. Nous disposions de 6 pierres sur 10. Aucune nouvelle du maître, aucune idée d’où était-il rendu. Rien. Nous ne voulions pas s’attarder trop longtemps, nous reprîmes notre ascension périlleuse. Par miracle, nous arrivâmes à une grotte, un passage qui nous permit de trouver deux grammes d’or vert et blanc ! Soit la possibilité de sortie pour Lola ! Nous allions pouvoir enfin nous retrouver dehors, comme deux amies qui ne se sont connues que sur Terre, alors que nous nous sommes rencontrées sur Terre et connues ailleurs. Trop de joie pour nous, mais l’heure était grave, plus beaucoup de temps, mais nous avions toutes les pierres. Les dix. Arivées en haut, pas de trace du maître et de son assistant. Nous attendîmes un bon quart d’heure avant qu’il n’arrivent. Nos pierres était visiblement plus grosses et plus lourdes que les leurs. Nous relevâmes toutes les épreuves avec succès. Une grande joie nous envahi. Lola montra les deux grammes d’or vert et blanc au maître, qui lui autorisa la sortie du monde avec moi, qui avait remporté la victoire avec Lola. Enfin.

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Oui je sais, je suis un peu méchante sur le coup de vous faire lire tout ça, d'autant plus qu'à l'ordi c'est plus fatiguant à lire (moi je trouve, mais c'est mon avis.)

Vous avez aimé ? Il reste encore la 5e partie... avant que l'histoire soit terminée ^^ !! Donc rendez-vous bientôt pour la fin de l'histoire :) !!